Je pense que je l’ai tellement dit que ce n’est plus une surprise pour personne quand je parle de ma relation conflictuelle avec mes cheveux. Cette année par exemple je suis passée du blond blanc sur des cheveux jusqu’aux épaules, au brun, en coupant ma tignasse au carré l’hiver dernier avant de retrouver toute ma masse naturelle au printemps pour finir par la re-décolorer cet été en faisant un crochet par la case « cheveux roses » avant de les re-re-decolorer pour éviter les reflets orangés et finalement décider – pour la 3ème fois de ma vie – de ne plus rien toucher.

Autant vous dire que je ne compte plus les personnes, croisées ici ou là, qui ne me reconnaissent plus quand elles me recroisent ici ou là-bas « Attends je connais une Mathilde mais elle, elle a les cheveux blonds et lisses alors que là toi tu es brune avec des boucles… » ah parce que oui, il y a les mois ou j’ai les cheveux raides comme des baquettes – j’ai des actions chez Babyliss – puis d’autres ou j’ai les cheveux frisés comme un mouton – quand je ne touche vraiment à rien – parfois c’est juste les pointes que je laisse libres et la plupart du temps je les attache tellement serrés – scandi-vibes quand tu nous tient… – que de toute façon personne ne saurait capable de pressentir ce que je cache dans mon chignon.

Il y a aussi les remarques des enfants : « Pourquoi tes cheveux on dirait de la paille » ? , celles des sœurs « Mathilde tes racines là c’est plus possible » et de Maman « Tu viens QUAND TU VEUX que je te coupe les cheveux« . Mes cheveux sont devenus une préoccupation d’état !

Il faut savoir qu’en plus de la masse j’ai le volume, l’épaisseur et des boucles super-serrées-super-dures-à-discipliner. Ma vie est un vaste combat contre les cheveux dans le tapis et les peignes que je casse par centaines des que je tente de les introduire entre les boucles.

Mais ce jour là… ce jour là rien de tout ça parce que j’étais passée entre les mains d’un coiffeur et que j’avais le brushing de ma vie. Le genre de brushing tellement parfait que j’ai hésité à me coucher le soir de peur de l’abîmer. Le genre de brushing qui m’a donné envie de pleurer quand j’ai constaté qu’il pleuvait dehors – #vdm – le genre de brushing qu’il faut prendre en photo, pour se souvenir qu’un jour, un jour j’ai eu les cheveux de ma vie !

Et si vous aimez mon nouveau pull autant que j’aime mon brushing restez dans le coin – enfin sur instagram surtout – car il est possible qu’un jeu concours attendent au coin de la rue ! Xx

 

 

 

 

 

Veste On Parle de Vous || Pull Rossignol || Jean Jennyfer || Boots Zara || Sac Giorgia Chloé

Crédit photo : Beaauuu Paris

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